, Voir aussi, cité par le même auteur, la revue Europe « Jean-Richard Bloch, Paris, Editions sociales, vol.14, pp.78-85, 1947.
, être un écrivain, je suis le mendiant de deux autres arts au moins. L'un d'eux est la musique-nourrice, maîtresse, consolatrice » in Offrande à la musique, 1930.
, , vol.14, p.193, 2008.
, laryngologistes, les discours pour les historiens, les langues étrangères pour les étudiants et les professeurs. Cette valeur incommensurable du disque a été dès longtemps reconnue par les hommes de science. C'est l'origine de la fondation d'Instituts spéciaux, p.45
, Vers le règne de l'interprète
, Cette antienne pourrait relever du jugement de goût, elle amène à s'interroger sur un état de l'imaginaire culturel de la France en ces années trente. Chez Coeuroy comme chez Bloch, le constat est sombre. Absence d'oeuvres significatives. Les qualités accolées à la musique française-distinction, élégance, sens de la nuance-se révèlent des handicaps à l'âge de la puissance. Les supports modernes de la diffusion musicale ne favorisent pas le raffinement des timbres. On soupire autour de ce manque d'énergie, cette puissance pressentie en d'autres pays, absente dans la musique française « devenue un art d'une distinction exquise, Ce sont les variétés qui sortent grandies de l'épreuve de la musique mécanique. Dans le domaine classique, la focale est déplacée vers l'interprète. S'agaçant des « giboulées de disques jumeaux tels les Nocturnes de Debussy ou la Shéhérazade de Rimsky-Korsakov, vol.46
,
, La Damnation de Faust, tout Wagner, Le Sacre du printemps et La Création du monde de Milhaud » ». Pourquoi « puissantes
, , p.137
, , p.58
, À la différence des virtuoses compositeurs et improvisateurs des siècles précédents, ces interprètes portés par le disque se trouvent en concurrence sur des mêmes oeuvres
, Revue universelle, 15 août 1930
, OEil de Paris pénètre partout, 5 mars 1930