, Autre rédaction du scolie : Un droit civil d' une chose A est un droit « naturel » de cette chose si son objectif est le respect de nécessités de la nature de cette chose A selon la Définition P-1. Remarque : dans un État civil, c'est la puissance de la multitude, en partie captée par le pouvoir, qui détermine ce qui est ou non « nécessité de la nature de chacun ». Ces déterminations ne vont pas sans conflit 20

, Cette dernière remarque à propos de la prise en compte ou non des « nécessités de leurs nature » des sujets par l'État civil qui les gouverne conduit à compléter E1-D7

, Dans ces 2 définitions, Spinoza mentionne les limites relatives aux « nécessités de sa nature

, Mentionner les « nécessités de leur nature » des choses qui affectent cette chose libre pourrait conduire à préciser ainsi la lettre 58 à Schuller : « J'appelle libre, quant à moi, une chose qui est et agit par la seule nécessité de sa nature sans respecter des nécessités de leur nature des choses qui l'affectent

. .. , Même précision pour E1-D7 : « cette chose sera dite libre, qui existe d'après la seule nécessité de sa nature sans respecter des nécessités de leur nature des choses qui l'affectent et est déterminée par soi seule à agir. D'autre part, cette chose sera dite nécessaire, ou plutôt contrainte ? etc

, En ne considérant que l'humain nous proposons donc dans le cadre d'un état civil : selon lettre 58 à Schuller : J'appelle humain libre-nécessaire un humain qui est et agit par la seule nécessité de sa nature en respectant des nécessités de leur nature des choses de la nature ou humaines qui article (A-1) Argumentation pour des raisons multiples à propos d'une chose

, affectent et est déterminé par soi seul à agir ; humain contraint, celui qui est déterminé par une chose humaine (ex : une institution humaine) à exister et à agir d'une certaine façon, détermination non liée à une nécessité de la nature relative aux humains concernés par cette chose humaine mais à une volition de celleci je ne fais pas consister la

E. Et and . Alt, cet humain sera dit libre-nécessaire, qui existe d'après la seule nécessité de sa nature et est déterminé par soi seul à agir en respectant des nécessités de leur nature des choses qui l'affectent. D'autre part, cet humain sera dit contraint, qui est déterminé à exister et à produire un effet selon une « raison » certaine et déterminée par une chose humaine (ex : une institution humaine), « raison » déterminée par une volition de cette chose humaine et non par une nécessité de sa nature

, Si un édifice d'idées est constitué « d'idées qui se tiennent », à savoir cohérentes entre elles et à

, Lorsque ces prémisses procèdent principalement de « nécessités de la nature » de la chose étudiée, cet édifice construit peut être alors une partie d'une science « dure » ou « exacte ». Parmi les idées de cet édifice

, L'ensemble de ces lois construites sont une reformulation des nécessités de la nature de la chose, nécessités qui sont donc perçues comme ayant « force de lois

. .. , Dans ces exemples, certaines prémisses procèdent de nécessités de la nature humaine (être en bonne santé, se nourrir,s'abriter), prémisses qui peuvent inspirer des lois, règlements, normes protectrices ou non. Certaines autres prémisses procèdent de désirs, exemples : désir de solidarité et justice sociale (ex : organisme HLM, CMU ou AME) ou désir de profit (ex : Bouygues Immobilier, cliniques privées). Lorsque le désir de solidarité et justice sociale prévaut, cela peut se traduire par des lois et règlements « civils » d'un État civil, Certains édifices d'idées, dont les prémisses procèdent notablement de « nécessités de la nature » de la chose prises en compte, sont ou régissent des institutions humaines

, A-1) Argumentation pour des raisons multiples à propos d'une chose besoins fondamentaux, des nécessités de la nature de chacun, bref des « droits naturels ». Par contre, des institutions dont les règles ignorent ou bafouent de tels « droits naturels », entre autre parce que le désir de profit est trop prégnant, laboratoire CPN article