, 23 et crainte, joyeux et triste, acceptation-soumission et révolte, p.24

,. , et les sentiments actifs que ces sentiments passifs poussent, en premier lieu les désirs (ex : ceux poussant les motivations du niveau B ou les convictions du niveau C), ces désirs poussant des prémisses fondant la raison de celui qui désire être conduit par sa raison. 25 . Si aucune motivation ou conviction ne peut être attachée à des perceptions et des conduites sociales constatées lors de l'étape A, cela ne peut être expliqué, en suivant Spinoza, que par des sentiments passifs, telle la crainte, la peur, la colère poussant à percevoir et à se conduire de manière incohérente, irraisonnable, incompréhensible. Des corrélations sont mises en évidence entre énoncés de deuxième niveau et de troisième niveau des mêmes organisations ou personnes. Des corrélations sont également mises en évidence directement entre sentiments et énoncés de premier niveau et faits sociaux, perception et implication concrète. C', Si possible, le chercheur doit discerner les sentiments passifs

, Nous n'envisageons que ces 4 référentiels de A à D : selon Spinoza l'humain n'est perceptible que par son corps, son entendement et ses sentiments. Soulignons un parallèle entre nos énoncés de deuxième (convictions) et premier niveau (motivations) et le syllogisme pratique d'Aristote 26 : l'énoncé de deuxième niveau est le principe majeur et celui de premier niveau le principe mineur dans le contexte de réflexion et de décision (faits sociaux). D'éventuelles incohérences entre le principe majeur

, Ainsi, la motivation « épanouissement » peut être poussée par un désir de distinction, de reconnaissance dans le groupe d'appartenance ; la motivation « relation aux autres » peut être poussée par un désir d'appartenance, l'appartenance étant considérée comme un bien impératif ne pouvant être l'objet d'une justice distributive

, Les humains désirent ou appréhendent toute chose selon les sentiments joyeux ou tristes qu'ils supposent devoir être provoqués par leurs affections. Ils acceptent, se soumettent à, ou s'indignent à propos de, se révoltent contre, toute chose selon les sentiments joyeux ou tristes provoqués par ses affections

, Voir article (A-1) Argumentation pour des raisons multiples à propos d

. Aristote, Ethique à Nicomaque (VI, 12, 1144a31 sq, Bibliothèque des Textes Philosophiques », 1990.