, Si des « dividendes » sont décidés, ils sont fractionnés entre les « actionnaires » et la sociétéentreprise selon Fn. La répartition de ces « dividendes » entre salariés de la société-entreprise est à définir selon divers critères (ex : position hiérarchique, ancienneté

, Après un certain temps de participation à la société-entreprise suite à son dernier achat, l'actionnaire peut revendre ses parts sociales, avec l'accord du C.A., à d'autres actionnaires extérieurs à la société-entreprise. Ses parts peuvent même être vendues par l'intermédiaire de la « Bourse » si les parts sociales de cette société-entreprise sont « cotées » en bourse. Le prix de cession n'a peut être rien à voir avec le « capital social » tel qu'enregistré dans le bilan. Le nouvel « actionnaire » a la fraction Fn liée à cette cession

, Dans ce cas, le montant de l'échange est le montant du « capital social », capital qui a pu être déprécié d'année en année selon les moyens de production qui lui sont liés. Dans le bilan, le « capital social » diminue et la fraction (1-Fn) des parts sociales de la société-entreprise augmente. La société-entreprise peut faire comme l'actionnaire : elle peut vendre (1-) à un nouvel actionnaire, à un prix de cession « du marché » ou « de la bourse » mais la fraction Fn du nouvel actionnaire est calculée avec la valorisation de ces parts dans le bilan, L'actionnaire a également la possibilité de céder ses parts sociales à la société-entreprise ellemême

, En échange de son « industrie », il peut recevoir, à la place d'une rémunération convenue, une nouvelle part de « capital social » de même montant que la rémunération convenue. Si part contre il est effectivement rémunéré et que cette « industrie » concerne les moyens de production, cette rémunération est prise en compte dans le processus normal de révision annuelle des fractions de parts sociales, Une variante de la possibilité

M. André and . Université-evry,

, Avec les règles actuelles d'appropriation des moyens de production à but lucratif, R devient rapidement supérieur à g. Nous le montrons en considérant (1-) g, d1 (ratio marge op./chiffre d'affaire) et d2= taux de distribution des dividendes

, Et après n années Rn=d1*d2*((1+g)**n)*C.A./C.S. La croissance annuelle de R est g. R est souvent dès le départ supérieur à g et il continue à croître tant que g est positif, d'où la spéculation sur les valeurs boursières. Exemple fondé sur les données de Renault : g=1%, d1=marge op./C.A.= 6,3%, d2= taux de distribution des dividendes=29%, C.A./C.S =, vol.1

, Autre estimation de R : Total capitalisation du CAC 40 : 1848,4 Md? (valeur bien supérieure à

C. , du fait de la spéculation boursière) et total dividendes versés en 2019 : 60 Md? : R=, vol.3, p.25